Dans la famille traditionnelle, on est sincère. On craint les latences familiales, les mémoires de défunts et la présence d'entité subtiles hostiles. On s'organise avec le rite des ancêtres, les pratiques religieuses et les exorcismes. Papa écoute la parole de Dieu ou l'enseignement de Bouddha. Maman gère la maisonnée sous son autorité. Les enfants sont éduqués et la nature sert de terrain de jeu, l'apprentissage en société se faisant par l'imitation.
Dans la famille moderne, c'est mensonge à tous les étages : "Surtout ne le dis pas à papa", "inutile de le dire aux enfants", "tu sais comment est ton père", etc.
De fait, des vicieux et les tordus irresponsables imaginent des divertissements, dont le contenu sordide stimule les instincts les plus bas. La télévision lave avec des postures sexuelles et matérialistes le cerveau des enfants, qui en conséquence harcèlent la mère pour acquérir les objets de la publicité. Papa doit alors aller travailler et oublie Dieu ou le Bouddha. C'est le paradis artificiel moderne, où l'argent étant roi... il faut imiter les riches, richesse et célébrité étant liées. Un monde de suiveurs et de singes... tout juste capables de se photographier sur Instagram et jouer à la "success life".
Pour papa et / ou maman, au travail, la nécessité de se conformer oblige à adopter une posture professionnelle, qui n'est ni authentique, ni vecteur de santé. On travaille, du latin "tripalium", un instrument qui permettait d'immobiliser trois jambes des chevaux pour les ferrer. On "gagne sa vie" mais parfois notre emploi entre en conflit avec nos valeurs morales et religieuses, voire avec le droit de l'Etat où on vit. Si on n'y prend garde, on fait en secret ce que la majorité des gens réprouveraient en public. Le monde moderne : c'est le grand mensonge de confort.
La situation de schizophrénie s'est développée de manière exponentielle avec les réseaux sociaux d'internet. Via les pseudos, les alters et les avatars, certaines personnes ont développé une identité numérique qui n'a aucun lien avec leur être social et encore moins leur nature-bouddha.
Avec le management de la société par l'hypnose sociale, sur le modèle annoncé dés les années 1980 par Zbigniew K Brzezinski dans "Between two ages", on assiste à un développement d'individus atteints d'identités multiples, dont certaines s'avèrent parfois criminelles.
Malgré les tentatives de juguler ces tendances dissociatives par les médicaments, les ondes électromagnétiques fréquencées et diverses thérapies, l'autoritarisme étatique se renforce de plus en plus et tend à diminuer les libertés, jusqu'à faire disparaître toute notion de vie privée, ni même de vie intime.
Il est temps de réagir. Et à ce titre, les yogas de Naropa offrent en six branches tous les instruments de retour à une relation saine à soi, à la famille, au travail, à la société et au numérique.
Voir la vidéo de Pascal en français et brésilien sur les formes de yoga : https://youtu.be/oIcRtwnMLPY
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